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vendredi 26 mars 2021

simple bash CLI commands cpu info, afficher cpu frequency, stress cpu test, scaling governor

 

Pour visualiser toutes les infos sur tes cpu :

cat /proc/cpuinfo

Pour afficher les fréquences de fonctionnement des cpu toutes les 0,5s :

watch -n 0,5 'cat /proc/cpuinfo | grep "MHz"'

Ctrl - c pour stopper


Pour changer le governor (en admettant que ce soit utile...)

sudo -sE pour devenir root

Passer en powersave

for file in /sys/devices/system/cpu/cpu*/cpufreq/scaling_governor; do echo "powersave" > $file; done

en performance

for file in /sys/devices/system/cpu/cpu*/cpufreq/scaling_governor; do echo "performance" > $file; done

Pour afficher l'état actuel

cat /sys/devices/system/cpu/cpu*/cpufreq/scaling_governor


Pour stresser un peu les cores du cpu voilà qui peut faire l'affaire :

D'abord créer un fichier binaire de données aléatoires, rien de plus simple :

dd if=/dev/urandom of=512.bin bs=32M count=16 iflag=fullblock

pour un fichier de 512Mo nommé (astucieusement) 512.bin

Ajuster bs ou count pour changer la taille selon les besoins

Lancer le stress test avec plusieurs instances de bzip2 depuis le répertoire où se trouve le fichier bin avec la commande (bash) suivante :

for instance in {1..4}; do coproc bzip2 -k 512.bin -c > /dev/null ; done

ajuster le nombre d'instance de bzip2 en changeant la valeur dans la liste, ici 4

Pour voir les jobs... utiliser la commande jobs ;)

Pour killer tous les jobs :

kill %{1..4} ajuster selon le nombre d'instances

ou

kill %n pour killer seulement le job n

dimanche 21 mars 2021

Start a X server on an other VT, create xorg.conf

Pour lancer en tant que user un serveur X et une session ou une application

startx /bin/gnome-session

startx xterm

startx configure automatiquement DISPLAY et lance le serveur X sur la console où est exécuté startx.

sudo startx xterm [-display :n] -- [:n] vtn &

---

export DISPLAY=:n

sudo  X :n vtn &

xcommand... comme xterm, xclock...

Pour fermer le serveur X

ps ax|grep Xorg

kill le serveur sur vtn

---

pour créer xorg.conf

sudo X :1 -configure

vi /root/xorg.conf.new

 

Infos utiles sur xinitrc sur https://wiki.archlinux.fr/Startx



mercredi 3 mars 2021

apfs-fuse basic commands

apfs-fuse -o uid=1000,gid=1000,allow_other  /dev/sdd2 /media/homeapfs/

Unmount a drive

As root:

umount <mount-directory>

As user:

fusermount -u <mount-directory>

LVM How-To Basic

Lister les volumes
sudo lvscan
Info sur les volumes
sudo lvdisplay

activer volume group
sudo vgchange -ay/n vgubuntu

monter le volume
sudo mount /dev/vgubuntu/root /mnt
ou via filemanager

SAMSUNG M2070W Activer Scanner linux Ubuntu 20.04

L'installation par défaut du pilote ne fonctionne pas. Pour corriger il faut créer des liens symboliques manuellement après l'installation.

Pour faire découvrir le scanner en réseau utiliser la commande :

smfpnetdiscovery

qui devrait retourner quelque chose comme

Network socket://192.168.0.105 "Samsung M2070 Series" "Samsung M2070 Series on 192.168.0.105" "MFG:Samsung;CMD:SPL,URF,FWV,PIC,EXT,SPDS;MDL:M2070 Series;CLS:PRINTER;CID:SA_SPLV3_BW;MODE:SCN,SPL3,R000105,SCP;"
network ipp://192.168.0.105 "Samsung M2070 Series" "Samsung M2070 Series on 192.168.0.105" "MFG:Samsung;CMD:SPL,URF,FWV,PIC,EXT,SPDS;MDL:M2070 Series;CLS:PRINTER;CID:SA_SPLV3_BW;MODE:SCN,SPL3,R000105,SCP;"


installer le pilote

puis création des liens symboliques

sudo ln -s /opt/smfp-common/scanner/lib/libsane-smfp.so.1.0.1 /usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-smfp.so.1.0.1
sudo ln -s /usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-smfp.so.1.0.1 /usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-smfp.so.1
sudo ln -s /usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-smfp.so.1 /usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-smfp.so


ajouter "smfp" dans /etc/sane.d/dll.conf

tous les autres backends peuvent être commentés

chmod 644 smfp-samsung.conf

ajouter

<model vendor="samsung" id="m2070w" modelstring="M2070 Series"/>

dans smfp.samsung.conf

scanimage -L

pour debugger scanimage -L

export SANE_DEBUG_DLL=255 && scanimage -L &> debug.txt

qui retourne quelque chose comme

[23:41:10.277791] [sanei_debug] Setting debug level of dll to 255.
[23:41:10.277967] [dll] sane_init: SANE dll backend version 1.0.13 from sane-backends 1.0.29
[23:41:10.277998] [dll] sane_init/read_dlld: attempting to open directory `./dll.d'
[23:41:10.278067] [dll] sane_init/read_dlld: attempting to open directory `/etc/sane.d/dll.d'
[23:41:10.278108] [dll] sane_init/read_dlld: using config directory `/etc/sane.d/dll.d'
[23:41:10.278183] [dll] sane_init/read_dlld: considering /etc/sane.d/dll.d/hplip
[23:41:10.278241] [dll] sane_init/read_config: reading dll.d/hplip
[23:41:10.278297] [dll] add_backend: adding backend `hpaio'
[23:41:10.278350] [dll] sane_init/read_dlld: done.
[23:41:10.278395] [dll] sane_init/read_config: reading dll.conf
[23:41:10.278475] [dll] add_backend: adding backend `smfp'
[23:41:10.278541] [dll] sane_get_devices
[23:41:10.278571] [dll] load: searching backend `smfp' in `/usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane:/usr/lib/sane:/usr/lib64/sane'
[23:41:10.278604] [dll] load: trying to load `/usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-smfp.so.1'
[23:41:10.278652] [dll] load: dlopen()ing `/usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-smfp.so.1'
[23:41:10.283749] [dll] init: initializing backend `smfp'
[23:41:10.286285] [dll] init: backend `smfp' is version 1.0.1
[23:41:11.664860] [dll] load: searching backend `hpaio' in `/usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane:/usr/lib/sane:/usr/lib64/sane'
[23:41:11.664928] [dll] load: trying to load `/usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-hpaio.so.1'
[23:41:11.664979] [dll] load: dlopen()ing `/usr/lib/x86_64-linux-gnu/sane/libsane-hpaio.so.1'
[23:41:11.670235] [dll] init: initializing backend `hpaio'
[23:41:11.671274] [dll] init: backend `hpaio' is version 1.0.0
[23:41:13.112936] [dll] sane_get_devices: found 1 devices
device `smfp:net;192.168.0.105' is a Samsung M2070 Series on 192.168.0.105 Scanner
[23:41:13.112971] [dll] sane_exit: exiting
[23:41:13.112984] [dll] sane_exit: calling backend `smfp's exit function
[23:41:13.113309] [dll] sane_exit: calling backend `hpaio's exit function
[23:41:13.113755] [dll] sane_exit: finished

jeudi 11 février 2021

Windows gérer activer désactiver réparer le boot manager

Provenant de https://www.reneelab.fr/windows-boot-manager.html

Merci.

Activer et désactiver le Windows Boot Manager sous Windows 10

Méthode 1: Activer et désactiver le Windows Boot Manager par l’invite de commandes

Il est nécessaire de fonctionner par un compte administrateur. Si vous n’en avez pas, veuillez créer un nouveau compte pour exécuter les commandes. 
 
Entrez « Invite de commandes » dans la barre de recherche, puis faites un clic droit sur Invite de commandes – Exécuter en tant qu’un administrateur .
Dans la boîte d’invite de commandes ouverte, entrez les invites de commandes【bcdedit /set {bootmgr} displaybootmenu yes】 et 【bcdedit /set {bootmgr} timeout 30】.

Le chiffre après le Timeout représente le nombre de secondes qui reste à l’interface de le Gestionnaire de démarrage Windows, ce qui peut être défini selon votre besoin. Et puis, appuyez sur Entrée un par un pour ouvrir chaque commande.

Si vous voulez désactiver le Gestionnaire de démarrage Windows, entrez la commande 【bcdedit /set {bootmgr} timeout 0】 et changez le nombre de secondes après timeout en 0.
Vous pouvez utiliser aussi la commande 【bcdedit /set {bootmgr} displaybootmenu no】 pour fermer le Gestionnaire démarrage Windows. Mais la méthode 2 de activer/désactiver est incapable d’utiliser si vous le fermer par ce moyen.

Méthode 2: Activer et désactiver le Windows Boot Manager par les propriétés du système

Appuyez sur l’icône Windows et le bouton R pour ouvrir la boîte d’Exécuter.
Entrez la commande 【sysdm.cpl】 dans la boîte d’exécuter , puis touchez Entrée.
Dans la boîte de Propriétés du système affichée, sélectionnez 【Options Avancées】.

Vous pouvez également faire un clic droit sur 【Ordinateur】, cliquer sur 【Propriétés】, puis sélectionner 【Paramètres système avancés】. Vous pouvez alors accéder directement à l’option 【Avancé】 des propriétés du système.

Cliquez sur le bouton 【Paramètres…】 sous l’onglet【Démarrage et récupération】. Dans la boîte affichée, cochez l’option 【Afficher les systèmes d’exploitation pendant: xx secondes】 sous 【Démarrage du système】. Définissez une valeur, (par exemple 30 secondes), puis touchez « OK » pour confirmer.
Si vous voulez désactiver le Gestionnaire de démarrage Windows, il vous suffit de décocher l’option 【Afficher les systèmes d’exploitation pendant :xx secondes】 , ou changez la valeur en 【0】.

Ajouter ou supprimer un système d’exploitation dans le Windows Boot Manager

Si votre ordinateur dispose de plusieurs systèmes, il ajoutera automatiquement après l’installation. S’il n’y a pas d’ajout automatique, veuillez ajouter le système d’exploitation selon la méthode suivante.

Cette méthode doit être exécutée en tant qu’administrateur. Si vous n’en a pas, veuillez créer un nouveau compte.

Comment ajouter des systèmes d’exploitation ?

Entrez 【Invite de commandes】 dans le barre de recherche, puis faites un clic droit sur Invite de commandes et exécutez en tant qu’un administrateur. Entrez les invites de commandes suivantes une par une:

【bcdedit /create {ntldr} /d « Windows XP »】 (Remarque: Entrez le nom du système que vous souhaitez ajouter entre les guillemets. Par exemple, si vous souhaitez ajouter le système d’exploitation Windows XP, entrez Windows XP).

【bcdedit /set {ntldr} device partition=C:】 (Remarque: Le C correspond à la lettre de lecteur du système XP , pouvant être modifiée en fonction de votre situation actuelle.)

【bcdedit /set {ntldr} path \ntldr】

【bcdedit /set {ntldr} description « Windows XP »】 (Remarque: Entrez le nom du système que vous souhaitez ajouter entre les guillemets. Par exemple, si vous souhaitez ajouter le système d’exploitation Windows XP, entrez Windows XP)

Entrez chaque commande et touchez Entrée pour la exécuter. Une fois l’opération réussie, vous pouvez ajouter un système d’exploitation au Gestionnaire de démarrage Windows.
En outre, l’invite de commande 【bcdedit /displayorder {ntldr} /addfirst】 sert à afficher le système ajouté en premier dans le menu de démarrage. Vous pouvez entrer cette commande si vous en avez besoin.

Comment supprimer des systèmes d’exploitation ?

Si vous ne voulez pas que les systèmes anciens et superflus sont affichés dans le menu de démarrage donc vous voulez les supprimer, veuillez suivre les étapes ci-dessous.

Cette méthode doit être exécutée en tant qu’administrateur. Si vous n’avez pas de compte administrateur, créez-en un nouveau.

Entrez 【Invite de commandes】 dans la barre de recherche, puis faites un clic droit sur Invite de commandes et exécutez en tant qu’un administrateur. Entrez l’invite de commande « bcdedit » pour voir quel identificateur de système vous allez supprimer.
 
identificateur
 
Par exemple si vous voudriez supprimer le système Windows XP et son identificateur est {ntldr}, il vous suffit d’entrer la commande « bcdedit /delete {ntldr} » pour l’exécuter.
Attention ! Il vous faut vérifier le contenu d’identificateur et éviter de supprimer accidentellement le système utilisé entraînant un échec de démarrage. Le système avec l’identificateur 【current】 est lequel vous êtes en train d’utiliser.

Comment récupérer en cas de problème avec le Windows Boot Manager?

En cas de problème avec le Windows Boot Manager, le système ne démarrera pas correctement. Il affichera généralement un écran bleu au démarrage de Windows comme l’image ci-dessous:

Le Windows Boot Manager est principalement composé de 2 parties:

La première partie est constituée des données de configuration de démarrage (élément de démarrage), généralement conservés dans le fichier BCD. Les problèmes de ce fichier entraînent des échecs de l’écran bleu comme: 0xc000000f0xc0000225, 0xc0000034, etc.

La deuxième partie est le fichier du système comme: le fichier bootmgr. Les problèmes de ce fichier entraînent des échecs comme l’invite d’ereur « bootmgr is missing « .

Il y a un problème avec le projet de démarrage

Démarrer l’ordinateur  Branchez le USB d’installer Windows et entrez dans le BIOS pour régler l’ordre du démarrage à partir du USB d’installer Windows.
Démarrez avec succès la clé USB dans l’interface d’installation de Windows 10, cliquez sur 【Réparer l’ordinateur】 en bas à gauche.
Après avoir entré dans Windows RE, sélectionnez【Dépannage】>【Options avancées】>【Invite de commandes】.
Entrez un par un les invites de commandes suivantes:【bootrec /fixmbr】, 【bootrec /fixboot】, 【bootrec /rebuildbcd】 dans la fenêtre d’invite, puis touchez « Entrée » à la fin de chaque invite de commandes. Après avoir entré les commandes ci-dessus, vous pouvez réparer le fichier BCD avec succès.
 
invite de commande bootrec pour fixboot

Il y a un problème avec les fichiers du système comme Bootmgr

Selon les étapes ci-dessus, entrez à l’interface Windows RE par le USB d’installer Windows, accédez ensuite ‘a Invite de commandes.
Entrez la commande 【sfc /scannow】, puis touchez « Entrée » pour le lancer, vous pouvez analyser votre système Windows avec succès et récupérer le fichier Bootmgr.
Le fichier système Bootmgr est perdu ou endommagé, c’est probable que l’enregistrement d’amorçage principal du disque dur soit défectueux ou corrompu. Entrez la commande « bootrec /fixmbr » pour le récupérer.

Set Clock Time on Dual-Boot Systems

If you're dual-booting Ubuntu 18.04 and Windows 10, you may find that changing time in one system affects the other and the two systems can't display the same time.

This happens as Ubuntu interprets the hardware clock or real time clock (RTC) in universal time (UTC) by default while Windows 10 maintains the clock in local time.

You can fix this by keeping RTC in local time in Ubuntu by running a command in the terminal below.

timedatectl set-local-rtc 1 --adjust-system-clock

To undo this setting, enter the command below.

timedatectl set-local-rtc 0 --adjust-system-clock

 

Alternative:

As an alternative, you can also make Windows use UTC so that it's consistent with that used in Ubuntu.

Download this registry file WindowsTimeFixUTC and double click on it to run the file in Windows.

Then run this command sc config w32time start= disabled in a command prompt as an administrator to configure the Service Control in Windows so that it will not continue to write local time.

 

Use usb Apple superdrive with linux

 

from techtalk – Christian Moser

Thanks to him. 


Unlock with SCSI Generic (sg) driver

For communicating with the SCSI device directly we need the Linux SCSI Generic (sg) driver packages.

# Debian
sudo apt-get install sg3-utils

Lookup the device, it should be sr0 or sr1 by default depending on how many USB disc drives are currently attached. Check the output of following command to get a list off all device paths:

ls /dev

After you’ve the SuperDrive identified, we’ll send the magic sequence to the device.

# Do magic...
sg_raw /dev/sr0 EA 00 00 00 00 00 01

Try to insert a disc, the drive should be awake now and start initialising the disc. For now the last step is necessary each time the drive is unplugged, so let’s automate it!

Custom udev rule

We’ll make us of the udev device manager. It runs as a deamon and receives events each time a device is initialised or removed. Furthermore, it features an extensible rule set for easy customising. Please check out this very good guide for further instructions.

Let’s write such a custom rule.

# Debian
sudo nano /etc/udev/rules.d/99-local.rules

Add following rule definition.

# Initialise Apple SuperDrive
ACTION=="add", ATTRS{idProduct}=="1500", ATTRS{idVendor}=="05ac", DRIVERS=="usb", RUN+="/usr/bin/sg_raw /dev/$kernel EA 00 00 00 00 00 01"

This will do the “magic” each time a SuperDrive device is connected. To test the rule, disconnect the drive and connect it again, the drive should be unlocked, already.

AT commands

1.2. Exécuter une commande à une date donnée

Par exemple, pour exécuter les commandes date puis df -h le 28 septembre 2008 à midi 42, tapez :

% at 12:42 28.09.2008

Vous voyez alors apparaître le prompt du programme at pour taper les commandes :

at> date
at> df -h

Une fois que vous avez fini de taper les commandes, utilisez la combinaison de touches Ctrl+d. Le résultat de la série de commandes, appelée job, vous sera envoyé par mail juste après leur exécution.

Pour voir la liste des jobs en attente, utilisez la commande atq. Pour annuler un job, tapez atrm numéro_du_job.


Editer sudoers

visudo

cdrecord wodim commands

wodim -v -eject speed=24 -pad -audio *.wav
wodim dev=/dev/sr0 -v blank=fast
wodim dev=/dev/sr0 -v -eject
Gravure non finalisée

Pour empêcher la finalisation par défaut de wodim, ajouter l'option -nofix.
Gravure de 2 pistes sans finalisation :

wodim -v -nofix speed=24 -pad -audio track01.wav track02.wav

Ajout de 2 pistes puis finalisation :

Ces 2 commandes l'une après l'autre le fait :

wodim -v -nofix speed=24 -pad -audio track03.wav

wodim -v -eject dev=1,0,0 speed=24 -pad -audio track04.wav

Finalisation sans ajout de piste :

wodim -v -eject -fix


Chapitre 52. Graver en console

1. Installation des paquets
2. Les CD de données
3. Les CD audio

1. Installation des paquets

Installez les paquets requis :

# aptitude install genisoimage wodim

2. Les CD de données
2.1. Créer l'image ISO du CD
À partir de fichiers

Avant de commencer à graver, il faut créer l'image ISO du CD, c'est à dire le système de fichiers qui sera gravé tel quel sur le disque. Pour cela, on utilise la commande genisoimage.

Prenons l'exemple d'une sauvegarde du home de l'utilisateur toto :

    vérifiez qu'il fait moins que la capacité du CD-R ou RW :

    % du -sh /home/toto/

    créez l'ISO :

    % genisoimage -R -r -J --hide-rr-moved -V "SauvHome" -o backup.iso /home/toto/

Explication des options utilisées dans genisoimage:

    -R : rajoute l'extension Rock Ridge qui permet de conserver les noms longs et les permissions sous Linux,

    -r : permet de générer une image qui soit lisible par tout le monde malgré les permissions activées par l'extension Rock Ridge,

    -J : active l'extension Joliet pour avoir les noms longs sous Windows,

    --hide-rr-moved : renomme le répertoire rr_moved (dû aux extensions Rock Ridge) en un répertoire caché .rr_moved,

    -V : spécifie un Nom de Volume (ici "SauvHome"),

    -o : spécifie le nom et l'emplacement du fichier ISO (ici backup.iso dans le répertoire courant).

Autre exemple : vous voulez créer une ISO qui contienne le répertoire /home/toto/, le fichier /etc/X11/XF86Config-4, et en plus le contenu du répertoire /mnt/win/toto/ qui devra apparaître sur le CD dans un répertoire win-toto :

% genisoimage -R -r -J --hide-rr-moved -V "SauvHome" -o backup.iso
-graft-points /home/toto/ /etc/X11/XF86Config-4 win-toto/=/mnt/win/toto/

À partir d'un CD

Pour créer l'image ISO d'un CD de données, il suffit de copier directement les données du disque original vers un fichier :

% dd if=/dev/cdrom of=backup.iso

2.2. Tester l'ISO

Pour vérifier que l'ISO du CD marche bien, on va monter le fichier contenant l'ISO en loopback dans le répertoire /mnt/tmp/ (à créer avant s'il n'existe pas) :

# mount -t iso9660 -o loop backup.iso /mnt/tmp

Si tout va bien, vous pouvez aller vous balader dans le répertoire /mnt/tmp/ pour voir le contenu de l'ISO. Une fois que vous avez vérifié que tout est bon, démontez l'ISO du CD :

# umount /mnt/tmp

2.3. Graver le CD
Les options de wodim

Maintenant que l'ISO est créée, vous allez utiliser la commande wodim (write optical disc medium) pour graver le CD. Les options à connaître et à utiliser sont :

    dev=/dev/cdrw où /dev/cdrw est un lien symbolique pointant vers le périphérique correspondant à votre graveur IDE ;

    -data image_ISO.iso pour préciser que l'on grave à partir de l'image ISO d'un CD ;

    blank=all pour effacer complètement le contenu d'un disque réinscriptible ;

    blank=fast pour effacer la table des matières d'un disque réinscriptible ;

Lancer la gravure

Pour lancer la gravure, tapez la commande suivante :

# wodim -v dev=/dev/cdrw -data backup.iso

2.4. Copie directe de lecteur à graveur

Pour réaliser une copie directe de lecteur CD à graveur, il faut lancer wodim avec l'option -isosize :

# wodim -v dev=/dev/cdrw -isosize /dev/cdrom

3. Les CD audio
3.1. Quel programme utiliser ?
[Note]     Note

L'utilisation de wodim pour graver des CD audio induit une pause de deux secondes entre chaque piste lors de la lecture, car il utilise le mode TAO (Track At Once). Pour éliminer cette pause, il faut graver le CD en mode DAO (Disk At Once).
3.2. Graver avec wodim

Pour graver un CD audio avec wodim, il faut disposer d'un fichier son au format CDR, WAV ou AU pour chaque piste. Si les fichiers sont au format WAV ou AU, chaque fichier doit être en stéréo, 16-bits à 44100 échantillons / seconde.
Convertir au bon format

Pour convertir un MP3 au format CDR, il suffit d'utiliser mpg321 :

% mpg123 --cdr ma_chanson.cdr ma_chanson.mp3

Pour extraire une piste d'un CD audio au format CDR, il faut utiliser cdparanoia (disponible dans le paquet du même nom) :

% cdparanoia -B -p

Graver le CD audio

Il suffit alors de taper :

# wodim -v -dev=/dev/cdrw -dao -audio track1.cdr track2.cdr track3.cdr [etc.]

ou

# wodim -v -dev=/dev/cdrw -dao -audio track1.wav track2.wav track3.wav [etc.]

ou

# wodim -v -dev=/dev/cdrw -dao -audio track1.au track2.au track3.au [etc.]


Turn on VIM in hexa mode

:%!xxd
:%!xxd -r

Rescale pictures with ffmpeg

for file in *.jpg; do ffmpeg -i "$file" -vf scale=iw*.5:ih*.5 "$file".half.jpg;done


FFmpeg has got a very powerful scale filter, which can be used to accomplish various tasks. Some of them are listed here. More can be found in the official documentation. In all the examples, the starting image (input.jpg) will be this one (535x346 pixels):

If you need to simply resize your video to a specific size (e.g 320x240), you can use the scale filter in its most basic form:

ffmpeg -i input.avi -vf scale=320:240 output.avi

Same works for images too:

ffmpeg -i input.jpg -vf scale=320:240 output_320x240.png

The resulting image will look like this:

As you can see, the aspect ratio is not the same as in the original image, so the image appears stretched. If we'd like to keep the aspect ratio, we need to specify only one component, either width or height, and set the other component to -1. For example, this command line:

ffmpeg -i input.jpg -vf scale=320:-1 output_320.png

will set the width of the output image to 320 pixels and will calculate the height of the output image according to the aspect ratio of the input image. The resulting image will have a dimension of 320x207 pixels.

There are also some useful constants which can be used instead of numbers, to specify width and height of the output image. For example, if you want to stretch the image in such a way to only double the width of the input image, you can use something like this (iw = input width constant, ih = input height constant):

ffmpeg -i input.jpg -vf scale=iw*2:ih input_double_width.png

The output image will look like this:

If you want to half the size of the picture, just multiply by .5

ffmpeg -i input.jpg -vf scale=iw*.5:ih*.5 input_half_size.png

Sometimes there is a need to scale the input image in such way it fits into a specified rectangle, i.e. if you have a placeholder (empty rectangle) in which you want to scale any given image. This is a little bit tricky, since you need to check the original aspect ratio, in order to decide which component to specify and to set the other component to -1 (to keep the aspect ratio). For example, if we would like to scale our input image into a rectangle with dimensions of 320x240, we could use something like this:

ffmpeg -i input.jpg -vf scale="'if(gt(a,4/3),320,-1)':'if(gt(a,4/3),-1,240)'" output_320x240_boxed.png

The output image will look like this:

The area below the image is shaded with boxes to show there was some additional space left in the box, due to the original image not having the same aspect ratio as the box, in which the image was supposed to fit.

Of course, this approach is only used when your input image is not known in advance, because if it was known, you would easily figure out if you need to use either:

-vf scale=320:-1

or

-vf scale=-1:240

Raccourcis BASH

Control Key combinations (CTRL+KEY)

   Ctrl + a : jump to the start of the line
   Ctrl + b : move back a char
   Ctrl + c : terminate the command
   Ctrl + d : delete from under the cursor
   Ctrl + e : jump to the end of the line
   Ctrl + f : move forward a char
   Ctrl + k : delete to EOL
   Ctrl + l : clear the screen
   Ctrl + r : search the history backwards
   Ctrl + R : search the history backwards with multi-occurrence
   Ctrl + u : delete backward from cursor
   Ctrl + w : delete backward a word
   Ctrl + xx : move between EOL and current cursor position
   Ctrl + z : suspend/stop the command

Alt Key combinations (ALT+KEY)

   Alt + < : move to the first line in the history
   Alt + > : move to the last line in the history
   Alt + ? : show current completion list
   Alt + * : insert all possible completions
   Alt + / : attempt to complete filename
   Alt + . : yank last argument to previous command
   Alt + b : move backward
   Alt + c : capitalize the word
   Alt + d : delete word
   Alt + f : move forward
   Alt + l : make word lowercase
   Alt + n : search the history forwards non-incremental
   Alt + p : search the history backwards non-incremental
   Alt + r : recall command
   Alt + t : move words around
   Alt + u : make word uppercase
   Alt + Backspace : delete backward from cursor

Escape Key combinations (ESC+KEY)

   Esc + d : delete from cursor position to end of the word
   Esc + f : move forward a word
   Esc + b : move backward a word
   Esc + t : transpose two adjacent words

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Thanks to:

http://cheat.errtheblog.com/s/bash
http://www.shell-tips.com

Monter un volume veracrypt en ligne de commande avec cryptsetup ou veracrypt

sudo cryptsetup --veracrypt open --type tcrypt '/media/moi/DT16G/container' veracrypt1
sudo mount /dev/mapper/veracrypt1 /media/veracrypt1/
sudo umount /media/veracrypt1
sudo cryptsetup --veracrypt close --type tcrypt veracrypt1



veracrypt '/media/moi/DT16G/container' /media/veracrypt1/
veracrypt -d veracrypt1